COVID-19 : mise à jour au 20 mars 2020 - Directives gouvernementales - Ergothérapie à distance

Nouvelle

Respect des directives gouvernementales

A la lumière des informations portées à son attention aujourd’hui, le président de l’OEQ a interpellé le bureau de la ministre de la Santé et des Services sociaux (MSSS) à l’effet que des gestionnaires de différents milieux, dont des CISSS et des CIUSSS, donneraient des consignes aux ergothérapeutes qui ne suivent pas les directives gouvernementales émises aux professionnels.

Ainsi, bien que l’OEQ soit conscient des impacts et de l’ampleur de la réorganisation requise dans les divers établissements en cette période de crise, l’OEQ s’attend à des rectifications immédiates afin de s’assurer de la protection du public ainsi que de la protection de la santé et de la sécurité des ergothérapeutes qui œuvrent auprès de ces personnes.  

Il est donc primordial de respecter les directives du gouvernement et d’en consulter régulièrement les mises à jour.

Pour les ergothérapeutes du secteur privé, comme déjà mentionné, il vous est demandé de reporter tous les rendez-vous prévus d’ici le 30 mars que vous jugez non urgents.

Si votre milieu poursuit ses activités, vous devez vous assurer d’être en mesure de suivre les consignes des autorités publiques, notamment en matière d’hygiène et d’asepsie comme de distanciation sociale. Cela peut donc vouloir dire, par exemple, de diminuer le nombre de patients, ou d’adapter votre horaire.

Si votre clinique ne peut se conformer aux consignes des autorités publiques, la directive est de ne pas poursuivre vos activités.

Ergothérapie à distance

L’OEQ encourage aussi la télépratique (tel que mentionné sur le forum de discussion du Portail.OEQ « COVID-19 et pratique professionnelle »). À cet égard, nous vous invitons à consulter, en plus du document produit par l’OEQ portant sur l’intervention ergothérapique à distance, le document de l’Équipe spécialisée en réadaptation à domicile (ESTRAD), ainsi que le document préparé par le CIQ (plus précisément les pages 37 et 41 qui résument les grands principes communs visant à baliser l’usage des TIC par les professionnels).