Loi 25 – protection des renseignements personnels

La Loi 25 est venue modifier plusieurs dispositions relatives à la protection des renseignements personnels, dont notamment ceux collectés et utilisés par les ergothérapeutes.

Vous trouverez ci-après certaines informations et certains outils utiles afin de vous permettre de vous conformer à vos nouvelles obligations.

  1. Les nouvelles obligations de la Loi 25 s’appliquent aux renseignements personnels collectés et utilisés par les ergothérapeutes du secteur public et du secteur privé (ex : travailleurs autonomes, propriétaires ou gestionnaires d’une clinique offrant des services d’ergothérapie). 

    Les renseignements présentés ci-après concernent principalement les ergothérapeutes œuvrant dans le secteur privé. Les ergothérapeutes œuvrant dans le secteur public sont pour leur part invités à s’informer auprès de leur employeur afin de connaitre les changements qui les concernent.

  2. Les nouvelles obligations de la Loi 25 entrent en vigueur en trois phases distinctes, à savoir une première phase le 22 septembre 2022, une seconde phase le 22 septembre 2023 et une troisième et dernière phase le 22 septembre 2024.

  3. Vous trouverez ci-dessous un aperçu des nouvelles obligations de la Loi 25. Veuillez consulter le site de la Commission d’accès à l’information afin de connaitre l’ensemble des nouvelles obligations.

     Aperçu des changements qui sont entrés en vigueur le 22 septembre 2022 

    Aperçu des changements entrants en vigueur le 22 septembre 2023

    D’ici le 22 septembre 2023, les entreprises devront notamment : 

     Aperçu des changements entrants en vigueur le 22 septembre 2024

  4. Toute entreprise qui fait défaut de respecter les dispositions applicables en matière de protection des renseignements personnels s’expose à des sanctions administratives pécuniaires   ainsi qu’à une poursuite de la part de la personne lésée.

  5. Le gouvernement du Québec a de plus publié différents outils en lien avec la Loi 25. Plusieurs de ces outils sont cités dans le présent texte. Bien que la plupart de ces outils s’adressent aux organismes publics et non aux entreprises privées, ils peuvent tout de même s’avérer pertinents pour les entreprises privées puisque les dispositions applicables à ces deux entités sont très similaires. Voir :